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LES VIOLENCES FAITES AUX ENFANTS

Si l'on reprend la définition faite par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) "la maltraitance de l'enfant s'entend de toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ ou affectifs, de sévices sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d’exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l’enfant, sa survie, son développement ou sa dignité dans le contexte d’une relation de responsabilité, de confiance ou de pouvoir. »

 

 

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Il existe trois formes de violences : les violences physiques, les violences psychologiques et les violences sexuelles.

LES VIOLENCES PHYSIQUES

Les violences physiques se traduisent par l’usage de la force ou de la violence contre un enfant, de telle sorte qu’il soit blessé ou risque de l’être : frapper (avec la main, avec le poing, avec le pied, avec un objet…), mordre, brûler, empoisonner, droguer ou inciter à consommer des substances dangereuses (alcool, tabac, stupéfiants…), étouffer, étrangler, secouer, bousculer, noyer… Les violences commises contre les enfants n’ont pas besoin d’être habituelles ou répétées pour tomber sous le coup de la loi.

Les violences commises contre les enfants sont sévèrement punies par la loi, a fortiori lorsque l’auteur est un parent ou un proche de la victime.

Ce que dit la loi

Victime de moins de 15 ans
Les violences (habituelles ou isolées ) sur un mineur de moins de 15 ans commises par son père, sa mère, ses grands-parents ou toute personne ayant autorité sur lui sont punies jusqu’à :

  • 30 ans de prison lorsqu’elles ont entraîné la mort de la victime ;
  • 20 ans de prison lorsqu’elles ont entraîné une infirmité permanente ;
  • 10 ans de prison et de 150 000 € d’amende lorsqu’elles sont la cause de blessures graves ;
  • 5 ans de prison et 75 000 € d’amende lorsque les blessures sont moins graves.

Victime de plus de 15 ans
Les violences (habituelles ou isolées) commises sur un mineur de plus de 15 ans par son père ou sa mère sont punies jusqu’à :

  • 15 ans de prison lorsqu’elles ont entraîné une infirmité permanente ;
  • 5 ans de prison et de 75 000 € d’amende, lorsqu’elles sont la cause de blessures graves ;
  • 3 ans de prison et 45 000 € d’amende lorsque les blessures sont moins graves.

 

LES VIOLENCES PSYCHOLOGIQUES

Plus méconnues, peut-être plus difficiles à cerner que les violences physiques, les violences psychologiques ne sont pourtant jamais anodines, a fortiori lorsque la victime est un enfant.

La sécurité affective et relationnelle fait partie des besoins fondamentaux de l’enfant. Les insultes ou les propos dénigrants, les humiliations, les menaces, les intimidations, etc. entrent ainsi dans le champ des maltraitances faites aux enfants.

Ce que dit la loi

Le code pénal réprime les violences quelle que soit leur nature, et les punit des mêmes peines y compris s’il s’agit de violences psychologiques.

 

LES VIOLENCES SEXUELLES

Les violences sexuelles ne se limitent pas au viol, mais concernent tous les actes à connotation sexuelle imposés aux enfants. On parle d’agression sexuelle pour désigner toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise. Le viol en fait partie, et se caractérise par un acte de pénétration sexuelle (vaginale, anale ou buccale).
Depuis la loi du 3 août 2018 relative aux violences sexuelles et sexistes, le code pénal précise que la contrainte peut résulter de la différence d’âge entre l’auteur et sa victime, ou de l’autorité que l’auteur exerce sur la victime.
De plus, les atteintes sexuelles commises sur un mineur sont punies par la loi même en l’absence de violence, de contrainte, de menace ou de surprise.
Les mutilations sexuelles, la prostitution de mineurs, la pédopornographie et la corruption de mineurs (c’est-à-dire le fait de le rendre témoin d’actes ou d’images à caractère sexuel : masturbation, relations sexuelles, pornographie, etc.) entrent également dans le champ des violences sexuelles.

En 2016, les forces de sécurité ont comptabilisé 19 700 enfants victimes de violences sexuelles. A noter que ce chiffre ne représente que la partie révélée des atteintes, celle qui donne lieu à un dépôt de plainte. D’après les enquêtes de victimation disponibles (par exemple, l’enquête Virage de l’INED),      1 femme sur 7 et 1 homme sur 25 déclarent avoir subi une forme d’agression sexuelle au moins une fois au cours de leur vie : pour 56 % des femmes et pour 75 % des hommes, cela s’est passé pendant l’enfance.

Ce que dit la loi


Le viol est puni de 20 ans de réclusion criminelle lorsque la victime est un enfant de moins de 15 ans ou lorsque l’auteur est un parent, un grand-parent, ou toute autre personne ayant autorité sur la victime. Il est puni de 15 ans dans les autres cas.
Les agressions sexuelles autres que le viol sont punies de 10 ans d’emprisonnement et de 150 000 € d’amende lorsque la victime est un enfant de moins de 15 ans. Elles sont punies de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende lorsqu’elles sont commises sur un mineur de plus de 15 ans par un parent, un grand-parent ou toute autre personne ayant autorité sur la victime, ou lorsqu’un mineur était présent au moment des faits et y a assisté. Elles sont punies de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende dans les autres cas.
Les atteintes sexuelles sur mineur commises par un parent, un grand-parent ou toute autre personne ayant autorité sur lui sont punies de 10 ans d’emprisonnement et de 150 000 € d’amende.
La corruption de mineur est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.

Par ailleurs, la loi du 14 mars 2016 relative à la protection de l’enfant a réintroduit la notion d’inceste dans le code pénal, lorsque le viol ou les agressions sexuelles sont commises par un ascendant (parents, grands-parents…), un beau-père ou une belle-mère, un frère ou une sœur, un oncle ou une tante, un neveu ou une nièce.

De très nombreuses associations militent et favorisent le bien-être de nos enfants et luttent d'arrache-pied contre ce fléau.

La violence faite aux enfants est un combat de tous les jours et qui, de plus impliqué qu'Arnaud GALLAIS, Directeur Général de l'association OLGA SPITZER, vice-président de l'association ANPF et co-fondateur de Prévenir et Protéger, pour en parler.

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